Vu ce qui s’est passé
vendredi soir à Paris, comme tout Français (et a fortiori en tant que
Parisien), je suis en deuil. Ce qui ne me rend pas bavard. Surtout s’il s’agit
de tenir des propos intelligents. D’autres en sont capables, et je les en
félicite (je les admire même énormément, sans aucune ironie) : voir ici
par exemple (mais compte tenu de la source, ce n’est pas une surprise) ; le temps des questions sérieuses, fondamentales même, viendra en effet, et vite, peut-être.
Trois choses cependant :
ma religion m’interdit le désespoir ; j’aime bien, d’ailleurs, la devise
qui orne les armes de la ville de Paris : Fluctuat nec mergitur (il
paraît que c’est une devise fort populaire en ce moment, et c’est bien ainsi) ;
et merci à tous ceux qui pensent ou ont pensé à la France depuis deux jours.
J'en ajouterai une encore : que ces temps douloureux nous incitent à une pensée fraternelle pour ceux dont ce genre d'horreur est presque le quotidien, ce que n'a pas oublié notre archevêque (voir ici).
J'en ajouterai une encore : que ces temps douloureux nous incitent à une pensée fraternelle pour ceux dont ce genre d'horreur est presque le quotidien, ce que n'a pas oublié notre archevêque (voir ici).
Sursum corda.
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